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  • Photo du rédacteurmonsieur toutmoncinéma

Tout simplement ... Un homme et une femme !


#laminute de monsieur toutmoncinéma revient sur la Palme d'or de Claude Lelouch pour Un homme et une femme ...




Palme d'or 1966 du Festival de Cannes ... et aujourd'hui encore et toujours, pas une ride !

Comme si l'amour, entre un homme et une femme, n'avait pas d'âge, pas d'époque, pas de génération ...

Comme si Lelouch avec cette histoire d'amour si simple avait fait mouche ... pour l'éternité !

Car oui, que l'on n'aime ou pas le cinéma de Lelouch, s'il est un film qui a marqué notre histoire avec le Festival de Cannes et notre amour du cinéma ... "Un homme et une femme" est bien de ceux-là !


Comme un "chabadabada" qui trotte à jamais dans nos têtes (grâce à l'immense talent de Francis Lai et de Nicolle Croisille)

Et tout compte fait, comme si un cinéma plus libre dans sa forme et dans son thème touche forcément là où justement, ça fait mouche ... éternellement !


Alors oui, merci Monsieur Lelouch, pour ce moment intemporel d'amour entre ... un homme et une femme. Et laissez-nous encore aimer, rêver, espérer ... à tout jamais !



Un homme et une femme | la bande-annonce

Claude Lelouch - Anouk Aymée, Jean-Louis Trintignant


Un homme et une femme, tous deux veufs inconsolables, se rencontrent, se croisent et finissent par s'aimer d'un amour fulgurant et passionné.


Palme d'or du festival de Cannes 1966, Oscar du meilleur film étranger en 1967 et Oscar du meilleur scénario original, le film eut un impact international non négligeable. Par exemple, il éblouit Charles Bremner, correspondant du Times, qui quitta l'Australie et s'installa en France1.

Claude Lelouch réalisa deux suites, toutes deux présentées hors compétition au Festival de Cannes et sorties dans la foulée du festival : Un homme et une femme : Vingt ans déjà (festival 1986), puis Les Plus Belles Années d'une vie (festival 2019).



Pour l'anecdote :


En 1965, Claude Lelouch réalisa Les Grands Moments qui fut un échec. « Quand ça va mal, dit-il, je vais à Deauville. C'était le 13 septembre... je marchais donc sur la plage et très loin – il faisait très mauvais ce jour-là – j'ai vu une femme qui marchait aussi. De très loin, elle semblait très très belle. Et il y avait une petite fille qui jouait à côté d'elle. J'essayais de me rapprocher de cette dame... et tout en me rapprochant j'essayais de trouver une explication... Les idées venaient comme ça, et, tout en marchant, j'écrivais l'histoire d'Un homme et une femme... »


La dichotomie entre des intérieurs filmés en noir et blanc et des extérieurs en couleur n'aura échappé à personne. En fait, de ce qui n’était au début qu’une contrainte budgétaire, le réalisateur aura fait l’un des ressorts dramatiques les plus marquants du film.





Pour la séance (d'écoute) de rattrapage du podcast de "monsieur toutmoncinéma", c'est ici que ça se passe :


Où (re)voir vos inoubliables du cinéma :
un service proposé par le CNC

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