#LaRépliqueQuiClaque de monsieur toutmoncinema revient sur le monologue tout en clin d'oeil et autodérision d'un Alain Delon en César pour "Astérix aux jeux olympiques"
Considéré par beaucoup comme le premier film bling bling de l'histoire du cinéma français, ce troisième volet au budget pharaonique des aventures cinématographiques de notre « Astérix au jeux olympiques » n'aura marqué ni la critique, ni le public .. ou presque !
Car quand le grand Alain Delon accepte de jouer le rôle du grand empereur romain Jules César ... il ne le fait pas dans la demie mesure, bien au contraire !
Il nous laisse même un moment savoureux à souhait, le monologue de César, ou plutôt d'un Alain Delon qui tire sa révérence à un cinéma français qui lui doit tant en convoquant tous ses grands faits d'armes.
Un moment culte tout en clin d'oeil et autodérision.
Astérix aux jeux olympiques (2008) - Le Monologue de César (Alain Delon)
Le monologue de César (Alain Delon) :
« César ne vieillit pas, il murit, ses cheveux ne blanchissent pas, ils s'illuminent. César est immortel, pour longtemps. César a tout réussi, tout conquis, c'est un guépard, un samouraï, il ne doit rien à personne. Ni à Rocco, ni à ses frères, ni au clan des Siciliens. César est de la race des seigneurs, d'ailleurs le César du meilleur empereur a été décerné à César... Ave moi ! »
Pour la séance (d'écoute) de rattrapage du podcast de "monsieur toutmoncinema", c'est ici que ça se passe :