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Une déclaration d'amour au cinéma (Cinema Paradiso)


#laminute de monsieur toutmoncinema revient sur la plus belle déclaration d'amour au cinéma avec Cinema Paradiso ...



Je ne sais pas vous, mais pour moi mon amour du cinéma rime depuis toujours avec une madeleine "sonore" qui aujourd'hui - à l'heure du tout digital - semble si lointaine et pourtant si essentielle encore ... l'époque du doux bruit d'une cabine de projection. Et de ses kilomètres de bobines déroulant leurs images sous nos yeux. Un peu comme ceux émerveillés du tout jeune Toto dans l'inoubliable "Cinema Paradiso" de Giuseppe Tornatore ...


Et justement ... quelle plus belle déclaration d'amour au 7ème art que sa scène finale où l'on retrouve notre Toto devenu grand, et désormais célèbre réalisateur italien, visionnant un montage de tous ces baisers de cinéma censurés alors par le curé du village mais que son vieil ami de toujours le projectionniste Alfredo avait soigneusement préservés et mis bout à bout ... sur une bobine.

Un cadeau pour l'éternité.



Cinema Paradiso (1988) Giuseppe Tornatore - La scène des baisers de cinéma coupés


À Rome, à la fin des années 1980, Salvatore vient d'apprendre la mort de son vieil ami Alfredo. Par cette nouvelle, c'est toute son enfance qui remonte à la surface : son village natal, en Sicile, quand on l'appelait Totò et qu'il partageait son temps libre entre l'église (où il était enfant de chœur) et la salle de cinéma paroissiale, où régnait Alfredo, le projectionniste qui, au travers des films qu'il projetait, lui apprenait la vie.





Pour la séance (d'écoute) de rattrapage du podcast de "monsieur toutmoncinema", c'est ici que ça se passe :


Où (re)voir vos inoubliables du cinéma :
un service proposé par le CNC

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